Eh oui, pourquoi faire dehors, ce qu'on peut faire à l'intérieur (traduction "chat" de l'adage humain : "ne pas remettre au lendemain, ce qu'on peut faire le jour même") !
7 décembre 2011
Chat sadique
Nous vivons dans un monde improbable. Alors que, nous, les humains, passons notre temps à lutter contre la crise de l'euro, les pandémies, le chômage, la baisse du pouvoir d'achat mais aussi (plus grave, croyez-moi !) le pervers qui vous dragouille dans le métro en reniflant frénétiquement (aie !), la hausse du prix du calendrier des postiers (25 euros, cette année !), le retour de la gale à l'école primaire (Personnellement, j'attends la peste à Noël !) - rayer les mentions inutiles suivant que vous êtes au gouvernement ou pas, concernés ou non -, d'irréductibles bêtes à poils passent leur temps à.... NE RIEN FAIRE ! Si, pardon ! A enquiquiner les humains.
10 juillet 2011
9 février 2011
Il y a fort longtemps...
Dans un autre monde, dans une autre vie, j'avais vendu des illustrations pour un ex-futur-nouveau magazine féminin. Hélas, ces dernières ne sont jamais parues. Qu'importe... J'ai décidé d'en dévoiler deux premières en exclusif pour les lecteurs de La Vie selon L. :
Et comme l'éditeur ne voulait pas de mâles sur l'ill' et rêvait du black power, la version définitive fût celle-ci :
Et comme l'éditeur ne voulait pas de mâles sur l'ill' et rêvait du black power, la version définitive fût celle-ci :
8 février 2011
7 février 2011
5 janvier 2011
En 2011, apprenez à dire NON !
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Alors... mes petites cailles, en 2011, prenez le taureau par les cornes et faites - enfin - ce qu'il vous plaît !
Je vous souhaite mille et un bonheurs.
Miss L.
28 décembre 2010
17 décembre 2010
Et les gagnants sont...
Mes petits internautes, fidèles au poste,
L'heure est aux révélations. Qui sont les heureux gagnants du jeu-concours : remportez une voyance gratos et deux thèmes numéros persos ?
Mais avant de divulguer les noms des gagnants, il est peut-être bon de préciser qu'on a eu un mal de chien chat à les choisir. D'ailleurs, cela s'est à peu près passé comme ça :
1/ Marina a dit… Un Cupidon à poil !
2/ Croc a dit… Coucou la Vie,
Un matin juste avant le boulot mon petit ami me donne rendez vous chez sa soeur qui lui avait laissé les clés de son appartement.
Voici son histoire :
Nath a dit… Après avoir travaillé sur mes papiers, mes recherches d'emploi une bonne partie de l'après-midi et voyant que le soleil était encore présent, je me mets en route pour une petite balade et pour quelques photos jolies à capturer !
L'heure est aux révélations. Qui sont les heureux gagnants du jeu-concours : remportez une voyance gratos et deux thèmes numéros persos ?
Fin du suspens... Roulement de tambours, s'il vous plaît....
Mais avant de divulguer les noms des gagnants, il est peut-être bon de préciser qu'on a eu un mal de chien chat à les choisir. D'ailleurs, cela s'est à peu près passé comme ça :
Bon bref, personne ne sera étonné que le cat ait finalement choisi deux histoires de chat....
Et les gagnants des thèmes numéros persos sont :
Il faisait froid et il pleuvait des cordes en ce 14 février 2007. Un temps à ne pas mettre ses stilettos dehors avec des températures parfaitement en accord avec mon moral dans les chaussettes ! De toutes manières quelle raison aurais-je eu à braver la météo et à sortir célébrer la Saint Valentin alors que l’amour s’était fait la malle depuis quelques mois déjà…
J’étais donc chez moi, prête à déguster un bol de soupe faite maison (si on ajoute de la crème fraîche à une brique, c’est un peu du « fait maison », non ?) devant une comédie romantique débilos que j’allais adorer détester quand soudain… On frappa à ma porte pour me livrer un Chippendale bien musclé et bien huilé rien que pour moi ? Pas du tout !
Quand j’entendis un son indéterminé qui ressemblait à une complainte d’un Gremlin qu’on martyrise ! Un coup d’œil derrière les rideaux pour découvrir dans la nuit et cinq étages plus bas une petite boule de poils hurlant à la mort sur le trottoir.
Sans réfléchir une seconde de plus, j’enfilai mon imper et je dévalai mes escaliers pour voir de plus près cette bête en détresse.
Terrorisée, elle était prostrée et n’osait pas m’approcher mais elle continuait à lancer son SOS. Puis pris de peur, le petit chat s’élança sur la route alors que les voitures arrivaient à vive allure. Je n’avais qu’une trouille, qu’il se fasse écraser. Je parvins tout de même à stopper les véhicules pressés de rentrer chez eux pour tenter de le récupérer. Après plusieurs longues et interminables minutes de négociations avec le félin, parti se réfugier sous une voiture à l’arrêt, je réussis à la convaincre de venir renifler ma main. Il ronronnait et me jetait des regards implorants tout en me faisant de gros câlins avec sa frimousse toute mouillée.
Je savais que là-haut, chez moi, un autre matou, allait faire la tête si je lui ramenais un nouveau camarade… Mais il n’y avait pas à hésiter ; le CSDF (Chat Sans Domicile Fixe) avait besoin de se mettre au chaud. Je le pris dans mes bras, dans lesquels il se blottit instantanément, et remontai précautionneusement mes cinq étages. En me voyant débarquer ainsi accompagnée, ma belle panthère Minos, fit une tête qui en disait long : « Tu te fous de moi ? C’est quoi ce truc poilu que tu nous ramènes ? ». A 7 ans, il était grand temps qu’il apprenne à partager son territoire… Ne serait-ce qu’une nuit !
Bien sûr, le nouvel arrivant avait peut-être déjà une autre maîtresse qui le cherchait sans doute partout ou peut-être était-il même tombé d’une fenêtre. Il fallait donc que je me mette en quête de ses propriétaires. Je ne voulais pas être accusée de catnapping ! Je fis donc le tour du quartier, je sonnai à toutes les portes, je placardai des affiches dans un rayon d’un kilomètre, je fis passer une annonce auprès de la SPA, de l’Ecole du chat… En vain. Personne ne réclama jamais cette adorable boule de poils, pourtant tatouée et répondant au nom de Fidji (les seules informations obtenues auprès de la SPA). Cette petite femelle avait certainement été lâchement abandonnée une veille de départ en vacances…
Plus de trois ans plus tard, je ne connais toujours pas son histoire et je ne me pose même plus la question. L’essentiel n’est pas dans les réponses. Elle est entrée dans ma vie et dans celle de Minos, qui fait semblant de ne pas l’apprécier quand je les observe, et cela me suffit.
Bien évidemment, depuis son appel du 14 février, j’ai reçu de nombreux cadeaux d’amoureux (plus ou moins extraordinaires !) pour la Saint Valentin : des fleurs, des bijoux, du parfum, des chocolats, des mots doux mais aucun n’a su supplanter ce petit Cupidon à poils ! Vive l’amour… Sous toutes ses formes !
J’étais donc chez moi, prête à déguster un bol de soupe faite maison (si on ajoute de la crème fraîche à une brique, c’est un peu du « fait maison », non ?) devant une comédie romantique débilos que j’allais adorer détester quand soudain… On frappa à ma porte pour me livrer un Chippendale bien musclé et bien huilé rien que pour moi ? Pas du tout !
Quand j’entendis un son indéterminé qui ressemblait à une complainte d’un Gremlin qu’on martyrise ! Un coup d’œil derrière les rideaux pour découvrir dans la nuit et cinq étages plus bas une petite boule de poils hurlant à la mort sur le trottoir.
Sans réfléchir une seconde de plus, j’enfilai mon imper et je dévalai mes escaliers pour voir de plus près cette bête en détresse.
Terrorisée, elle était prostrée et n’osait pas m’approcher mais elle continuait à lancer son SOS. Puis pris de peur, le petit chat s’élança sur la route alors que les voitures arrivaient à vive allure. Je n’avais qu’une trouille, qu’il se fasse écraser. Je parvins tout de même à stopper les véhicules pressés de rentrer chez eux pour tenter de le récupérer. Après plusieurs longues et interminables minutes de négociations avec le félin, parti se réfugier sous une voiture à l’arrêt, je réussis à la convaincre de venir renifler ma main. Il ronronnait et me jetait des regards implorants tout en me faisant de gros câlins avec sa frimousse toute mouillée.
Je savais que là-haut, chez moi, un autre matou, allait faire la tête si je lui ramenais un nouveau camarade… Mais il n’y avait pas à hésiter ; le CSDF (Chat Sans Domicile Fixe) avait besoin de se mettre au chaud. Je le pris dans mes bras, dans lesquels il se blottit instantanément, et remontai précautionneusement mes cinq étages. En me voyant débarquer ainsi accompagnée, ma belle panthère Minos, fit une tête qui en disait long : « Tu te fous de moi ? C’est quoi ce truc poilu que tu nous ramènes ? ». A 7 ans, il était grand temps qu’il apprenne à partager son territoire… Ne serait-ce qu’une nuit !
Bien sûr, le nouvel arrivant avait peut-être déjà une autre maîtresse qui le cherchait sans doute partout ou peut-être était-il même tombé d’une fenêtre. Il fallait donc que je me mette en quête de ses propriétaires. Je ne voulais pas être accusée de catnapping ! Je fis donc le tour du quartier, je sonnai à toutes les portes, je placardai des affiches dans un rayon d’un kilomètre, je fis passer une annonce auprès de la SPA, de l’Ecole du chat… En vain. Personne ne réclama jamais cette adorable boule de poils, pourtant tatouée et répondant au nom de Fidji (les seules informations obtenues auprès de la SPA). Cette petite femelle avait certainement été lâchement abandonnée une veille de départ en vacances…
Plus de trois ans plus tard, je ne connais toujours pas son histoire et je ne me pose même plus la question. L’essentiel n’est pas dans les réponses. Elle est entrée dans ma vie et dans celle de Minos, qui fait semblant de ne pas l’apprécier quand je les observe, et cela me suffit.
Bien évidemment, depuis son appel du 14 février, j’ai reçu de nombreux cadeaux d’amoureux (plus ou moins extraordinaires !) pour la Saint Valentin : des fleurs, des bijoux, du parfum, des chocolats, des mots doux mais aucun n’a su supplanter ce petit Cupidon à poils ! Vive l’amour… Sous toutes ses formes !
A peine installés on entend tambouriner à la porte. Qui donc ose troubler cet instant fragile ?
Le petit ami qui avait cru bon de ne pas me parler de son ex à moitié folle me la présente par porte interposée.
Donc on l'entend hurler dans le couloir toutes sorte d'horreurs et d'insanités et, prenant peur pour notre sécurité et peut être même pour nos vies, nous décidâmes de fuir et de la laisser se soulager dans le couloir.
Nous voilà escalader le mur de 3 mètres de haut qui nous séparent du jardin mitoyen de la voisine, une parfaite inconnue. Après des sauts dignes d'un film d'aventure, nous
voilà atteris dans son jardin.
Et là une vision qu'on aurait dit sortie d'une autre époque : une vieille dame toute de noir vêtue pareille aux veuves Corses avec un fichu et un tablier qui n'auraient pipé mot des histoires qu'ils avaient vécues.
On aurait dit qu'elle nous attendait depuis des années, là campée sur ses petites jambes biscorues et son air usé. A nos pieds, des millions de chats exclusivement noirs (je jure que c'est vrai de vrai) se bousculaient dans tous les sens miaulant à tue tête sans doute pour nous souhaiter la bienvenue. Une marée noire mouvante au milieu d'un taudis sans lumière, je me dis nous allons être happés en un rien de temps, je regrettais presque la folle vociférant.
D'un geste lent de la main elle nous indique le chemin à prendre et dans son sillon nauséabond les millions de chats et nous mêmes nous frayons un passage.
De loin j'entraperçois la porte maculée, la clé de notre liberté et je reprends espoir.
Toujours sans un mot, la vieille dame nous ouvre et nous fait signe comme si elle avait su qu'il fallait qu'elle nous aide ou qu'elle nous libère.
Durant tout ce temps, nous n'avons échangé aucun mot, juste des signes et des regards.
Merci encore a cette mystérieuse personne que nous n'avons jamais revue.
Le petit ami qui avait cru bon de ne pas me parler de son ex à moitié folle me la présente par porte interposée.
Donc on l'entend hurler dans le couloir toutes sorte d'horreurs et d'insanités et, prenant peur pour notre sécurité et peut être même pour nos vies, nous décidâmes de fuir et de la laisser se soulager dans le couloir.
Nous voilà escalader le mur de 3 mètres de haut qui nous séparent du jardin mitoyen de la voisine, une parfaite inconnue. Après des sauts dignes d'un film d'aventure, nous
voilà atteris dans son jardin.
Et là une vision qu'on aurait dit sortie d'une autre époque : une vieille dame toute de noir vêtue pareille aux veuves Corses avec un fichu et un tablier qui n'auraient pipé mot des histoires qu'ils avaient vécues.
On aurait dit qu'elle nous attendait depuis des années, là campée sur ses petites jambes biscorues et son air usé. A nos pieds, des millions de chats exclusivement noirs (je jure que c'est vrai de vrai) se bousculaient dans tous les sens miaulant à tue tête sans doute pour nous souhaiter la bienvenue. Une marée noire mouvante au milieu d'un taudis sans lumière, je me dis nous allons être happés en un rien de temps, je regrettais presque la folle vociférant.
D'un geste lent de la main elle nous indique le chemin à prendre et dans son sillon nauséabond les millions de chats et nous mêmes nous frayons un passage.
De loin j'entraperçois la porte maculée, la clé de notre liberté et je reprends espoir.
Toujours sans un mot, la vieille dame nous ouvre et nous fait signe comme si elle avait su qu'il fallait qu'elle nous aide ou qu'elle nous libère.
Durant tout ce temps, nous n'avons échangé aucun mot, juste des signes et des regards.
Merci encore a cette mystérieuse personne que nous n'avons jamais revue.
Voici son histoire :
Mais voilà qu'en mi-chemin, mon téléphone sonne...
C'est ma copine Michelle au bout du fil et je lui dis : "attends, attends, je me gare"... je trouve une petite route sortant d'un rond point et nous papotons. Je suis contente, bien garée et rassurée!
Nous parlons travail avec les difficultés que je rencontre en ce moment.
Je vois arriver une voiture ayant fait le tour du rond point auparavant et un homme charmant d'environ 35 ans ouvre sa fenêtre en me faisant un grand sourire !
Je pense qu'il cherche son chemin, je reste néanmoins au téléphone en expliquant à ma copine qu'il y a quelqu'un qui veut me parler et tout à coups, l'homme me dit : "Voooous...." d'un air interrogatif.
Je dis : "Jeeee..."
"Oh! Excusez-moi" dit-il ! Je lui réponds bêtement : "Je suis au téléphone !". L'homme s'en va aussitôt un peu gêné et moi n'en parlons pas (sciée !)
Je saisis que cet homme croyait qu'il allait prendre un peu de bon temps !
J'explique à ma copine et nous éclatons de rire...
Bref, un peu plus tard, je reçois un texto de sa part : "tu vois qu'il y a du boulot !"
Je lui réponds "oui et sans entretien d'embauche, sûrement bien payé avec ça !"
Voilà une petite anecdote bien rigolote !
Mais du coups, plus le goût de faire des photos... je suis vite rentrée chez moi !
Demain, nouveau jeu-concours pour gagner un nouveau lot... Arghhhh que va dire le Père Noël face à cette avalanche de cadeaux sur la Vie selon L..... Bah rien ! Il va jouer, comme tout le monde.
C'est ma copine Michelle au bout du fil et je lui dis : "attends, attends, je me gare"... je trouve une petite route sortant d'un rond point et nous papotons. Je suis contente, bien garée et rassurée!
Nous parlons travail avec les difficultés que je rencontre en ce moment.
Je vois arriver une voiture ayant fait le tour du rond point auparavant et un homme charmant d'environ 35 ans ouvre sa fenêtre en me faisant un grand sourire !
Je pense qu'il cherche son chemin, je reste néanmoins au téléphone en expliquant à ma copine qu'il y a quelqu'un qui veut me parler et tout à coups, l'homme me dit : "Voooous...." d'un air interrogatif.
Je dis : "Jeeee..."
"Oh! Excusez-moi" dit-il ! Je lui réponds bêtement : "Je suis au téléphone !". L'homme s'en va aussitôt un peu gêné et moi n'en parlons pas (sciée !)
Je saisis que cet homme croyait qu'il allait prendre un peu de bon temps !
J'explique à ma copine et nous éclatons de rire...
Bref, un peu plus tard, je reçois un texto de sa part : "tu vois qu'il y a du boulot !"
Je lui réponds "oui et sans entretien d'embauche, sûrement bien payé avec ça !"
Voilà une petite anecdote bien rigolote !
Mais du coups, plus le goût de faire des photos... je suis vite rentrée chez moi !
Demain, nouveau jeu-concours pour gagner un nouveau lot... Arghhhh que va dire le Père Noël face à cette avalanche de cadeaux sur la Vie selon L..... Bah rien ! Il va jouer, comme tout le monde.
10 décembre 2010
Jeu-concours : gagnez une voyance gratuite avec Vérone. Dépêchez-vous de participer, vous avez jusqu'au 15 décembre !
Ah bah voui, tout de suite, ça donne envie, une p'tite voyance gratuite surtout avec une medium de renom : madame Vérone ! Quelqu'un va enfin pouvoir vous dire si Bidule votre chat va revenir, si vous allez gagner de l'argent au Loto, si vous allez rencontrer l'AMOUR ou trouver le taf de vos rêves ou tout simplement quelles perspectives s'offriront à vous en 2011 ! Ca c'est pour le ou la grand(e) gagnant(e).
Et pour les deux dauphin(e)s, Vérone leur fera leur thèmes numérologiques pour 2011.
Bref, pour cette première avalanche de cadeaux, nous aurons pas moins de 3 gagnantes. Elle est pas belle la Vie (selon L.) !
Vérone et Miss L. ont vraiment hâte de lire les histoires les plus farfelues, abracabrantesques qui vous sont arrivées. Go, go, go ! Nous jubilons !
Les noms des heureux gagnant(e)s seront donnés le 17 décembre prochain.
D'ici là, sachez qu'un autre cadeau sera mis en jeu le 18 décembre !
> Pour en savoir plus sur Vérone, direction son site : www.verone-voyance.com
8 décembre 2010
Noël freudien !
Alors impatients mes petits fans que l'avalanche de cadeaux commence ! Plus que deux minuscules journées et nous commençons les festivités ! Quitte à se mettre mal avec le Papa Noël qui fera son tour des cadeaux le 25 décembre prochain !
Soyez au rendez-vous le 10 décembre sur La Vie selon L. ! D'ailleurs, je crois que certain(e)s ont déjà trouvé le premier cadeau en jeu...
2 décembre 2010
Quand la magie de Noël te pénètre au plus profond (Cherchez pas, y a rien de déguelasse là-dedans)
Hé, toi, oui, toîîîîî, Petit Lutin de Noël, tu as échoué totalement par hasard on t'a un peu beaucoup forcé la main via Facebook, Twitter, Hellocoton et j'en passe encore sur La Vie selon L. Et si tu as été très assidu - bref, tu t'aies avalé les 450 pages du blog au ralenti - tu as remarqué qu'il se tramait un truc louche le 10 décembre sur ce blog.
Quoiîî, qu'as-tu appris ? Qu'une ribambelle de cadeaux allaient être mis en jeu pour les seuls chanceux visiteurs de La Vie selon L. - bah, ouais, mon gars, t'es à la page ou pas. C'est LE blog du moment, ce blog ! - J'espère que tu as prévenu le Père Noël en personne de cette magouille sans nom !
Petit Lutin, montre vite au Père Noël, le lien suivant pour qu'il suive de près ce truc pas bien catholique qui va attirer les foules avant le 25 décembre. Et hop, le lien : clique ici, Petit Lutin !
PS : Hé, si tu veux, Petit Lutin, tu peux claquer la porte du gros libidineux bedonnant pour te joindre à notre groupe. On est quand même vachement plus glam' que le Père Noël, tu trouves pas !?
1 décembre 2010
La hotte du Père, ça commence le 10 décembre sur La Vie selon L.
Vous remarquerez, ce blog a toujours d'excellentes idées. La personne qui est derrière tout cela, doit vraisemblablement être dôtée d'une intelligence hors normes (quoique... est-ce que ça compte si elle ne sait toujours pas ses tables de multiplications ?!). Mais passons.
C'est bientôt Noël, et je ne pouvais pas oublier ceux qui chaque jour viennent sur La Vie selon L. J'ai donc décidé de leur offrir une avalanche de cadeaux pendant tout le mois de décembre.
Restez donc connecté(e)s à La Vie selon L. car les festivités commencent le 10 décembre prochain pour le 1er cadeau mystère-mystère. Vous verrez, je suis sûre que cela va vous plaire. Et bonne nouvelle pour ce premier lot, il n'y aura pas un seul gagnant mais 3 !
En attendant, je vous invite à me poser des questions sous ce post via les commentaires pour découvrir de quoi il s'agit.
Amusez-vous bien et faites passer le message...
21 novembre 2010
Ma lettre au Père Noël winship
Très très très chère (dans tous les sens du terme !) Père Noël Annabel,
J'ai aujourd'hui pris ma plus belle police qui traînait sur l'éditeur de texte de ce formidable blog plume pour vous soudoyer écrire.
D'une contrée fort lointaine, votre fervente future re acheteuse - c'est-à-dire moi ! - vivote. Acoquinée d'un vaillant campagnard imperméable à toute jubilation devant une tripoté de godillots vernis, votre disciple aimante - toujours moi ! - rêve qu'un jour vous mettiez votre art à la solde des petons masculins pour leur procurer de doux supplices.
Je m'explique...
De ma contrée fort lointaine, je ne connaissais que les baskets négligemment ficelés, lavés deux fois par an maximum et légèrement puantes, (bref rien de quoi faire miauler un chien (avis aux visiteurs lettrés de ce blog, ceci est une traduction français d'un très joli proverbe mongol j'adore quand vous croyez n'importe quoi !)) alors que les femelles de mon espèce ne juraient que par la nouvelle pompe machin truc chose de chez nunuche truc muche. Je dois vous avouer que ces greluches addicts aux sabots, je les trouvais pathétiques, un peu connes et franchement pas fréquentablesmême si pour garder de bonnes relations professionnelles et quelques fois amicrales, je m'y pliais sans sourciller. Imaginez-les bavantes devant la couleur d'une semelle extérieure et s'exclafant : "C'est une Louloutin, c'est une Louloutinnnnnnnnn, tin tin, lou lou !". Se liquéfier lorsque la chanceuse propriétaire faisait son cat wall et minauder "Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii - par pitié, faites le petit strident à la fin du dernier 'i', ce sera plus réaliste - ce sont bien des Louloutîîîn !"
Oh ne vous méprenez pas chère Annabel, j'ai bien tenté de me fondre dans le moule. J'ai banqué auprès du chausseur du coin. Des escarpins flambants neufs avec ce qu'il faut de talons, de brillants et de zéro derrière. J'avais fière allure, moins quand je m'étalais après deux divagations. Mais mes petons se refusaient au luxe. J'avais beau leur dire : "soyez beaux et taisez- vous, bordel ! Marchons, marchons..." De douloureux cloques m'ornaient la plante. Argh que la vie est franchement injuste ! J'ai tenté l'escalope de veau crue, il paraît que ça soulage (c'est vu ça dans la Boum !) mais rien n'y fit. Mes pieds ne voulaient remettre leur destiné qu'aux baskets cracra et éventuellement aux charentaises.
Et puis, un jour, je ne sais plus trop comment, une de vos créations est entrée dans mon champs de vision. J'ai un peu ricané me disant "Tu es en train de devenir comme ces pétasses, tu regardes les chaussures en bavant !". J'ai moins ricané lorsque que deux gouttes salives sont venues orner mon menton. Effectivement, je bavais, effectivement je regardais une paire de chaussure plus de 3 minutes 30, effectivement, je me pétassissais (avis aux visiteurs lettrés de ce blog : arrêtez de déchirer le dico, le verbe n'existe pas) !
L'addiction aux shoes est arrivée très rapidemment. J'ai commencé par regarder une première paire, puis une deuxième, une troisième, pour au final dévorer toute la collection. J'ai prié le Seigneur pour que vous vous importiez rapidement dans notre pays des mangeurs de grenouille (c'est bien comme cela que vous, Anglais, nous nommez, nous, les Français). Et j'ai été exaucée ! Depuis peu, vous avez ouvert une jolie boutique parisienne (ici).
En sachant cela, j'ai beaucoup parlementé avec mes deux petons : "Eh les gars, écoutez maman, la petite Annabel est en train de faire aimer les chaussures à maman, bref de redonner la part de fémininité que maman avait enfoui dans ses baskets. Donc, on va faire un deal : si vous me promettez qu'ampoules, echauffements et autres réjouissances ne viendront tout gâcher ! Je vous emmènerai gambader dans le sable chaud cet hiver".
Aucun des deux n'a osé broncher, le coup du sable chaud avait fait son effet. Je courus donc extorquer quelques euros au vaillant campagnard avec qui j'ai signé un drôle de contrat il y a bien quatre, cinq de cela, et qui l'oblige à me garantir secours et assistance tout au long ma vie. Cela s'appelle un contrat mariage assurance-vie. C'est nouveau, je crois ! Il me l'a proposé en me faisant miroiter un joli cadeau en échange, vous savez un peu comme le paquet de corn flakes avec sa figure en plastique qu'on veut ab-so-lu-ment avoir quand on est petit, et qui bien évidemment, nous fais acheter le paquet de corn flakes qu'on mangera pas. Eh bien, moi, à l'époque, je crois que c'était un genre de cailloux, pas très gros d'ailleurs, son joli cadeau !
Bref, revenons à la demande. Il a beuglé un peu tout de même : "Quoi plus de 100 euros dans des chaussures". Oui, je sais j'ai quelque peu menti sur le tarif réel. La bataille a été rude, j'ai bien cru que j'allais la perdre. Les tractations ont duré des jours. J'ai même été obligée de sortir l'arme atomique : une grève du sexe en bonne et due forme. Généralement, l'ennemi ne dure pas plus de 3 jours. L'état de siège a toujours raison de sa vulgaire faiblesse.
Quoiqu'il en soit, j'ai eu mes 100 euros et des grosses poussières ! pour m'accaparer vos souliers. Je les sors fièrement seulement les jours de fête - j'ai pas non plus envie de me pétassisser totalement -.
Mon homme, certes les trouve jolis, sans qu'elles fassent miauler un chien (Avis aux lettrés de ce blog : pour l'origine de cet idiomatique, voir plus haut) et c'est sûr, commence à me prendre pour une pétasse.
Afin de sauver mon couple, chère Annabel, je vous supplie de créer de sublimes godillons pour homme, pour qu'eux aussi, souffrent de ne pas posséder toutes vos créations, palpitent à chaque lancement de collection, se liquifient lorsque que le collègue de bureau tant détesté et détestable beuglera : "Ouiiiiiiiiiiiiiiiîî -même pour l'homme, vous pouvez émettre le petit cri strident au 'i' pour faire plus réaliste -, ce sont des Annabel Winship".
Et afin de sauver mon compte en banque, si par élan de générosité, vous conceviez à m'envoyer une petite paire en 40, sachez que je me remettrai à croire au Père Noël pour l'Eternité !
L., votre shoeomane dévouée,
D'une contrée fort lointaine, votre fervente future re acheteuse - c'est-à-dire moi ! - vivote. Acoquinée d'un vaillant campagnard imperméable à toute jubilation devant une tripoté de godillots vernis, votre disciple aimante - toujours moi ! - rêve qu'un jour vous mettiez votre art à la solde des petons masculins pour leur procurer de doux supplices.
Je m'explique...
De ma contrée fort lointaine, je ne connaissais que les baskets négligemment ficelés, lavés deux fois par an maximum et légèrement puantes, (bref rien de quoi faire miauler un chien (avis aux visiteurs lettrés de ce blog, ceci est une traduction français d'un très joli proverbe mongol j'adore quand vous croyez n'importe quoi !)) alors que les femelles de mon espèce ne juraient que par la nouvelle pompe machin truc chose de chez nunuche truc muche. Je dois vous avouer que ces greluches addicts aux sabots, je les trouvais pathétiques, un peu connes et franchement pas fréquentables
Oh ne vous méprenez pas chère Annabel, j'ai bien tenté de me fondre dans le moule. J'ai banqué auprès du chausseur du coin. Des escarpins flambants neufs avec ce qu'il faut de talons, de brillants et de zéro derrière. J'avais fière allure, moins quand je m'étalais après deux divagations. Mais mes petons se refusaient au luxe. J'avais beau leur dire : "soyez beaux et taisez- vous, bordel ! Marchons, marchons..." De douloureux cloques m'ornaient la plante. Argh que la vie est franchement injuste ! J'ai tenté l'escalope de veau crue, il paraît que ça soulage (c'est vu ça dans la Boum !) mais rien n'y fit. Mes pieds ne voulaient remettre leur destiné qu'aux baskets cracra et éventuellement aux charentaises.
Et puis, un jour, je ne sais plus trop comment, une de vos créations est entrée dans mon champs de vision. J'ai un peu ricané me disant "Tu es en train de devenir comme ces pétasses, tu regardes les chaussures en bavant !". J'ai moins ricané lorsque que deux gouttes salives sont venues orner mon menton. Effectivement, je bavais, effectivement je regardais une paire de chaussure plus de 3 minutes 30, effectivement, je me pétassissais (avis aux visiteurs lettrés de ce blog : arrêtez de déchirer le dico, le verbe n'existe pas) !
L'addiction aux shoes est arrivée très rapidemment. J'ai commencé par regarder une première paire, puis une deuxième, une troisième, pour au final dévorer toute la collection. J'ai prié le Seigneur pour que vous vous importiez rapidement dans notre pays des mangeurs de grenouille (c'est bien comme cela que vous, Anglais, nous nommez, nous, les Français). Et j'ai été exaucée ! Depuis peu, vous avez ouvert une jolie boutique parisienne (ici).
En sachant cela, j'ai beaucoup parlementé avec mes deux petons : "Eh les gars, écoutez maman, la petite Annabel est en train de faire aimer les chaussures à maman, bref de redonner la part de fémininité que maman avait enfoui dans ses baskets. Donc, on va faire un deal : si vous me promettez qu'ampoules, echauffements et autres réjouissances ne viendront tout gâcher ! Je vous emmènerai gambader dans le sable chaud cet hiver".
Aucun des deux n'a osé broncher, le coup du sable chaud avait fait son effet. Je courus donc extorquer quelques euros au vaillant campagnard avec qui j'ai signé un drôle de contrat il y a bien quatre, cinq de cela, et qui l'oblige à me garantir secours et assistance tout au long ma vie. Cela s'appelle un contrat mariage assurance-vie. C'est nouveau, je crois ! Il me l'a proposé en me faisant miroiter un joli cadeau en échange, vous savez un peu comme le paquet de corn flakes avec sa figure en plastique qu'on veut ab-so-lu-ment avoir quand on est petit, et qui bien évidemment, nous fais acheter le paquet de corn flakes qu'on mangera pas. Eh bien, moi, à l'époque, je crois que c'était un genre de cailloux, pas très gros d'ailleurs, son joli cadeau !
Bref, revenons à la demande. Il a beuglé un peu tout de même : "Quoi plus de 100 euros dans des chaussures". Oui, je sais j'ai quelque peu menti sur le tarif réel. La bataille a été rude, j'ai bien cru que j'allais la perdre. Les tractations ont duré des jours. J'ai même été obligée de sortir l'arme atomique : une grève du sexe en bonne et due forme. Généralement, l'ennemi ne dure pas plus de 3 jours. L'état de siège a toujours raison de sa vulgaire faiblesse.
Quoiqu'il en soit, j'ai eu mes 100 euros et des grosses poussières ! pour m'accaparer vos souliers. Je les sors fièrement seulement les jours de fête - j'ai pas non plus envie de me pétassisser totalement -.
Mon homme, certes les trouve jolis, sans qu'elles fassent miauler un chien (Avis aux lettrés de ce blog : pour l'origine de cet idiomatique, voir plus haut) et c'est sûr, commence à me prendre pour une pétasse.
Afin de sauver mon couple, chère Annabel, je vous supplie de créer de sublimes godillons pour homme, pour qu'eux aussi, souffrent de ne pas posséder toutes vos créations, palpitent à chaque lancement de collection, se liquifient lorsque que le collègue de bureau tant détesté et détestable beuglera : "Ouiiiiiiiiiiiiiiiîî -même pour l'homme, vous pouvez émettre le petit cri strident au 'i' pour faire plus réaliste -, ce sont des Annabel Winship".
Et afin de sauver mon compte en banque, si par élan de générosité, vous conceviez à m'envoyer une petite paire en 40, sachez que je me remettrai à croire au Père Noël pour l'Eternité !
L., votre shoeomane dévouée,
7 novembre 2010
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