L'heure est aux révélations. Qui sont les heureux gagnants du jeu-concours : remportez une voyance gratos et deux thèmes numéros persos ?
Fin du suspens... Roulement de tambours, s'il vous plaît....
Mais avant de divulguer les noms des gagnants, il est peut-être bon de préciser qu'on a eu un mal de chien chat à les choisir. D'ailleurs, cela s'est à peu près passé comme ça :
Bon bref, personne ne sera étonné que le cat ait finalement choisi deux histoires de chat....
Et les gagnants des thèmes numéros persos sont :
Il faisait froid et il pleuvait des cordes en ce 14 février 2007. Un temps à ne pas mettre ses stilettos dehors avec des températures parfaitement en accord avec mon moral dans les chaussettes ! De toutes manières quelle raison aurais-je eu à braver la météo et à sortir célébrer la Saint Valentin alors que l’amour s’était fait la malle depuis quelques mois déjà…
J’étais donc chez moi, prête à déguster un bol de soupe faite maison (si on ajoute de la crème fraîche à une brique, c’est un peu du « fait maison », non ?) devant une comédie romantique débilos que j’allais adorer détester quand soudain… On frappa à ma porte pour me livrer un Chippendale bien musclé et bien huilé rien que pour moi ? Pas du tout !
Quand j’entendis un son indéterminé qui ressemblait à une complainte d’un Gremlin qu’on martyrise ! Un coup d’œil derrière les rideaux pour découvrir dans la nuit et cinq étages plus bas une petite boule de poils hurlant à la mort sur le trottoir.
Sans réfléchir une seconde de plus, j’enfilai mon imper et je dévalai mes escaliers pour voir de plus près cette bête en détresse.
Terrorisée, elle était prostrée et n’osait pas m’approcher mais elle continuait à lancer son SOS. Puis pris de peur, le petit chat s’élança sur la route alors que les voitures arrivaient à vive allure. Je n’avais qu’une trouille, qu’il se fasse écraser. Je parvins tout de même à stopper les véhicules pressés de rentrer chez eux pour tenter de le récupérer. Après plusieurs longues et interminables minutes de négociations avec le félin, parti se réfugier sous une voiture à l’arrêt, je réussis à la convaincre de venir renifler ma main. Il ronronnait et me jetait des regards implorants tout en me faisant de gros câlins avec sa frimousse toute mouillée.
Je savais que là-haut, chez moi, un autre matou, allait faire la tête si je lui ramenais un nouveau camarade… Mais il n’y avait pas à hésiter ; le CSDF (Chat Sans Domicile Fixe) avait besoin de se mettre au chaud. Je le pris dans mes bras, dans lesquels il se blottit instantanément, et remontai précautionneusement mes cinq étages. En me voyant débarquer ainsi accompagnée, ma belle panthère Minos, fit une tête qui en disait long : « Tu te fous de moi ? C’est quoi ce truc poilu que tu nous ramènes ? ». A 7 ans, il était grand temps qu’il apprenne à partager son territoire… Ne serait-ce qu’une nuit !
Bien sûr, le nouvel arrivant avait peut-être déjà une autre maîtresse qui le cherchait sans doute partout ou peut-être était-il même tombé d’une fenêtre. Il fallait donc que je me mette en quête de ses propriétaires. Je ne voulais pas être accusée de catnapping ! Je fis donc le tour du quartier, je sonnai à toutes les portes, je placardai des affiches dans un rayon d’un kilomètre, je fis passer une annonce auprès de la SPA, de l’Ecole du chat… En vain. Personne ne réclama jamais cette adorable boule de poils, pourtant tatouée et répondant au nom de Fidji (les seules informations obtenues auprès de la SPA). Cette petite femelle avait certainement été lâchement abandonnée une veille de départ en vacances…
Plus de trois ans plus tard, je ne connais toujours pas son histoire et je ne me pose même plus la question. L’essentiel n’est pas dans les réponses. Elle est entrée dans ma vie et dans celle de Minos, qui fait semblant de ne pas l’apprécier quand je les observe, et cela me suffit.
Bien évidemment, depuis son appel du 14 février, j’ai reçu de nombreux cadeaux d’amoureux (plus ou moins extraordinaires !) pour la Saint Valentin : des fleurs, des bijoux, du parfum, des chocolats, des mots doux mais aucun n’a su supplanter ce petit Cupidon à poils ! Vive l’amour… Sous toutes ses formes !
J’étais donc chez moi, prête à déguster un bol de soupe faite maison (si on ajoute de la crème fraîche à une brique, c’est un peu du « fait maison », non ?) devant une comédie romantique débilos que j’allais adorer détester quand soudain… On frappa à ma porte pour me livrer un Chippendale bien musclé et bien huilé rien que pour moi ? Pas du tout !
Quand j’entendis un son indéterminé qui ressemblait à une complainte d’un Gremlin qu’on martyrise ! Un coup d’œil derrière les rideaux pour découvrir dans la nuit et cinq étages plus bas une petite boule de poils hurlant à la mort sur le trottoir.
Sans réfléchir une seconde de plus, j’enfilai mon imper et je dévalai mes escaliers pour voir de plus près cette bête en détresse.
Terrorisée, elle était prostrée et n’osait pas m’approcher mais elle continuait à lancer son SOS. Puis pris de peur, le petit chat s’élança sur la route alors que les voitures arrivaient à vive allure. Je n’avais qu’une trouille, qu’il se fasse écraser. Je parvins tout de même à stopper les véhicules pressés de rentrer chez eux pour tenter de le récupérer. Après plusieurs longues et interminables minutes de négociations avec le félin, parti se réfugier sous une voiture à l’arrêt, je réussis à la convaincre de venir renifler ma main. Il ronronnait et me jetait des regards implorants tout en me faisant de gros câlins avec sa frimousse toute mouillée.
Je savais que là-haut, chez moi, un autre matou, allait faire la tête si je lui ramenais un nouveau camarade… Mais il n’y avait pas à hésiter ; le CSDF (Chat Sans Domicile Fixe) avait besoin de se mettre au chaud. Je le pris dans mes bras, dans lesquels il se blottit instantanément, et remontai précautionneusement mes cinq étages. En me voyant débarquer ainsi accompagnée, ma belle panthère Minos, fit une tête qui en disait long : « Tu te fous de moi ? C’est quoi ce truc poilu que tu nous ramènes ? ». A 7 ans, il était grand temps qu’il apprenne à partager son territoire… Ne serait-ce qu’une nuit !
Bien sûr, le nouvel arrivant avait peut-être déjà une autre maîtresse qui le cherchait sans doute partout ou peut-être était-il même tombé d’une fenêtre. Il fallait donc que je me mette en quête de ses propriétaires. Je ne voulais pas être accusée de catnapping ! Je fis donc le tour du quartier, je sonnai à toutes les portes, je placardai des affiches dans un rayon d’un kilomètre, je fis passer une annonce auprès de la SPA, de l’Ecole du chat… En vain. Personne ne réclama jamais cette adorable boule de poils, pourtant tatouée et répondant au nom de Fidji (les seules informations obtenues auprès de la SPA). Cette petite femelle avait certainement été lâchement abandonnée une veille de départ en vacances…
Plus de trois ans plus tard, je ne connais toujours pas son histoire et je ne me pose même plus la question. L’essentiel n’est pas dans les réponses. Elle est entrée dans ma vie et dans celle de Minos, qui fait semblant de ne pas l’apprécier quand je les observe, et cela me suffit.
Bien évidemment, depuis son appel du 14 février, j’ai reçu de nombreux cadeaux d’amoureux (plus ou moins extraordinaires !) pour la Saint Valentin : des fleurs, des bijoux, du parfum, des chocolats, des mots doux mais aucun n’a su supplanter ce petit Cupidon à poils ! Vive l’amour… Sous toutes ses formes !
A peine installés on entend tambouriner à la porte. Qui donc ose troubler cet instant fragile ?
Le petit ami qui avait cru bon de ne pas me parler de son ex à moitié folle me la présente par porte interposée.
Donc on l'entend hurler dans le couloir toutes sorte d'horreurs et d'insanités et, prenant peur pour notre sécurité et peut être même pour nos vies, nous décidâmes de fuir et de la laisser se soulager dans le couloir.
Nous voilà escalader le mur de 3 mètres de haut qui nous séparent du jardin mitoyen de la voisine, une parfaite inconnue. Après des sauts dignes d'un film d'aventure, nous
voilà atteris dans son jardin.
Et là une vision qu'on aurait dit sortie d'une autre époque : une vieille dame toute de noir vêtue pareille aux veuves Corses avec un fichu et un tablier qui n'auraient pipé mot des histoires qu'ils avaient vécues.
On aurait dit qu'elle nous attendait depuis des années, là campée sur ses petites jambes biscorues et son air usé. A nos pieds, des millions de chats exclusivement noirs (je jure que c'est vrai de vrai) se bousculaient dans tous les sens miaulant à tue tête sans doute pour nous souhaiter la bienvenue. Une marée noire mouvante au milieu d'un taudis sans lumière, je me dis nous allons être happés en un rien de temps, je regrettais presque la folle vociférant.
D'un geste lent de la main elle nous indique le chemin à prendre et dans son sillon nauséabond les millions de chats et nous mêmes nous frayons un passage.
De loin j'entraperçois la porte maculée, la clé de notre liberté et je reprends espoir.
Toujours sans un mot, la vieille dame nous ouvre et nous fait signe comme si elle avait su qu'il fallait qu'elle nous aide ou qu'elle nous libère.
Durant tout ce temps, nous n'avons échangé aucun mot, juste des signes et des regards.
Merci encore a cette mystérieuse personne que nous n'avons jamais revue.
Le petit ami qui avait cru bon de ne pas me parler de son ex à moitié folle me la présente par porte interposée.
Donc on l'entend hurler dans le couloir toutes sorte d'horreurs et d'insanités et, prenant peur pour notre sécurité et peut être même pour nos vies, nous décidâmes de fuir et de la laisser se soulager dans le couloir.
Nous voilà escalader le mur de 3 mètres de haut qui nous séparent du jardin mitoyen de la voisine, une parfaite inconnue. Après des sauts dignes d'un film d'aventure, nous
voilà atteris dans son jardin.
Et là une vision qu'on aurait dit sortie d'une autre époque : une vieille dame toute de noir vêtue pareille aux veuves Corses avec un fichu et un tablier qui n'auraient pipé mot des histoires qu'ils avaient vécues.
On aurait dit qu'elle nous attendait depuis des années, là campée sur ses petites jambes biscorues et son air usé. A nos pieds, des millions de chats exclusivement noirs (je jure que c'est vrai de vrai) se bousculaient dans tous les sens miaulant à tue tête sans doute pour nous souhaiter la bienvenue. Une marée noire mouvante au milieu d'un taudis sans lumière, je me dis nous allons être happés en un rien de temps, je regrettais presque la folle vociférant.
D'un geste lent de la main elle nous indique le chemin à prendre et dans son sillon nauséabond les millions de chats et nous mêmes nous frayons un passage.
De loin j'entraperçois la porte maculée, la clé de notre liberté et je reprends espoir.
Toujours sans un mot, la vieille dame nous ouvre et nous fait signe comme si elle avait su qu'il fallait qu'elle nous aide ou qu'elle nous libère.
Durant tout ce temps, nous n'avons échangé aucun mot, juste des signes et des regards.
Merci encore a cette mystérieuse personne que nous n'avons jamais revue.
Voici son histoire :
Mais voilà qu'en mi-chemin, mon téléphone sonne...
C'est ma copine Michelle au bout du fil et je lui dis : "attends, attends, je me gare"... je trouve une petite route sortant d'un rond point et nous papotons. Je suis contente, bien garée et rassurée!
Nous parlons travail avec les difficultés que je rencontre en ce moment.
Je vois arriver une voiture ayant fait le tour du rond point auparavant et un homme charmant d'environ 35 ans ouvre sa fenêtre en me faisant un grand sourire !
Je pense qu'il cherche son chemin, je reste néanmoins au téléphone en expliquant à ma copine qu'il y a quelqu'un qui veut me parler et tout à coups, l'homme me dit : "Voooous...." d'un air interrogatif.
Je dis : "Jeeee..."
"Oh! Excusez-moi" dit-il ! Je lui réponds bêtement : "Je suis au téléphone !". L'homme s'en va aussitôt un peu gêné et moi n'en parlons pas (sciée !)
Je saisis que cet homme croyait qu'il allait prendre un peu de bon temps !
J'explique à ma copine et nous éclatons de rire...
Bref, un peu plus tard, je reçois un texto de sa part : "tu vois qu'il y a du boulot !"
Je lui réponds "oui et sans entretien d'embauche, sûrement bien payé avec ça !"
Voilà une petite anecdote bien rigolote !
Mais du coups, plus le goût de faire des photos... je suis vite rentrée chez moi !
Demain, nouveau jeu-concours pour gagner un nouveau lot... Arghhhh que va dire le Père Noël face à cette avalanche de cadeaux sur la Vie selon L..... Bah rien ! Il va jouer, comme tout le monde.
C'est ma copine Michelle au bout du fil et je lui dis : "attends, attends, je me gare"... je trouve une petite route sortant d'un rond point et nous papotons. Je suis contente, bien garée et rassurée!
Nous parlons travail avec les difficultés que je rencontre en ce moment.
Je vois arriver une voiture ayant fait le tour du rond point auparavant et un homme charmant d'environ 35 ans ouvre sa fenêtre en me faisant un grand sourire !
Je pense qu'il cherche son chemin, je reste néanmoins au téléphone en expliquant à ma copine qu'il y a quelqu'un qui veut me parler et tout à coups, l'homme me dit : "Voooous...." d'un air interrogatif.
Je dis : "Jeeee..."
"Oh! Excusez-moi" dit-il ! Je lui réponds bêtement : "Je suis au téléphone !". L'homme s'en va aussitôt un peu gêné et moi n'en parlons pas (sciée !)
Je saisis que cet homme croyait qu'il allait prendre un peu de bon temps !
J'explique à ma copine et nous éclatons de rire...
Bref, un peu plus tard, je reçois un texto de sa part : "tu vois qu'il y a du boulot !"
Je lui réponds "oui et sans entretien d'embauche, sûrement bien payé avec ça !"
Voilà une petite anecdote bien rigolote !
Mais du coups, plus le goût de faire des photos... je suis vite rentrée chez moi !
Demain, nouveau jeu-concours pour gagner un nouveau lot... Arghhhh que va dire le Père Noël face à cette avalanche de cadeaux sur la Vie selon L..... Bah rien ! Il va jouer, comme tout le monde.
Super ! Vraiment merci beaucoup, je suis très contente... je vais réfléchir à ma question et vite appeler Vérone ! C'est cool pour bien commencer l'année ! Merci merci encore !
RépondreSupprimerBises
@ Nath : Encore Bravo ! N'hésite pas à faire partager tes impressions sur ta voyance gratos.
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